Preparant l’article d’El Marge Llarg per donar la benvinguda a la
7ª Festa de la Poesia a Sitges penso en l’ànima dels poetes tal com la va cantar
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
La foule les chante un peu distraite
En ignorant le nom de l’auteur
Sans savoir pour qui battait leur cœur
Parfois on change un mot, une phrase
Et quand on est à court d’idées
On fait la la la la la la
La la la la la la
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leurs chansons courent encore dans les rues
Un jour, peut-être, bien après moi
Un jour on chantera
Cet air pour bercer un chagrin
Ou quelqu’heureux destin
Fera-t-il vivre un vieux mendiant
Ou dormir un enfant
Tournera-t-il au bord de l’eau
Au printemps sur un phono
Longtemps, longtemps, longtemps
Après que les poètes ont disparu
Leur âme légère et leurs chansons
Qui rendent gais, qui rendent tristes
Filles et garçons
Bourgeois, artistes
Ou vagabonds.
Moltes gràcies, Vinyet, per recordar-nos així el centenari de Trenet. Si en voleu escoltar una mica més, de moment encara podeu fer-ho en línia gràcies al programa que li va dedicar France musique:
http://sites.radiofrance.fr/francemusique/em/etonnez_moi/emission.php?e_id=22&d_id=515006042